CLER Obscur récompense quatre nouveaux films citoyens sur la transition énergétique

Depuis six ans, le concours CLER Obscur récompense des films courts qui mettent en scène la transition énergétique. Chez un individu, au sein d’une famille ou d’une collectivité, ils décrivent les évolutions de la société sur la thématique de l’énergie et sa ré-appropriation par les citoyens. Découvrez les lauréats 2016 et visionnez leur film !

En 2016, le concours CLER Obscur a permis une nouvelle fois de valoriser quatre films courts sur la transition énergétique et leurs réalisateurs. Le CLER – Réseau pour la transition énergétique les remercie chaleureusement pour leur créativité et leurs convictions ! Leur court-métrage mettent l’accent sur l’enthousiasme, la solidarité et la capacité mobilisatrice des nombreuses initiatives qui naissent de la simple volonté de bâtir un monde sobre, aux ressources énergétiques naturelles et propres, décentralisées et 100 % renouvelables.

Suivez des élèves d’une école primaire des Hautes-Alpes et leur institutrice qui cherchent à évaluer ce que représente un kilowattheure, découvrez le parc éolien « A tout vent » et la motivation de ses investisseurs citoyens, écoutez les explications d’un jeune internaute converti qui met en valeur les atouts de la transition énergétique, et enfin « transitionnez-vous » avec un film créatif qui utilise le collage et le montage pour susciter le changement dans toutes les têtes !

Merci à tous les participants dont les films sont visibles sur le compte Youtube du concours, aux partenaires et aux membres du jury qui nous ont soutenus pour cette édition 2016. A l’année prochaine !

 

 

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Les lauréats 2016 :

Prix du jury (1000 euros)

  • « Transitionnez – vous ! » par Mathilde Landreau & Laura Serreau

Prix des internautes

  • 1er prix (1000 euros) : « Du rouge au vert : la transition énergétique ! » par Vincent Verzat
  • 2e prix (750 euros) : « Atout vent : des éoliennes qui nous appartiennent » par Energie partagée
  • 3e prix (500 euros) : « 1 Kwh = facile à consommer, mais à produire ? » par Karine Goninet