« L’énergie la moins polluante, est celle qu’on ne consomme pas »

1. Produire un kilowattheure en pédalant

1 Kwh, facile à consommer, mais à produire ?

C’est la question  que se sont posés les enfants de l’école Ernest Cézanne à Embrun dans  les Hautes-Alpes avec leur institutrice. Ils ont réalisé un  court-métrage sur les énergies pour éclaircir un sujet aussi compliqué pour le jeune public que pour les adultes.

2. Entendre le chant des éoliennes

Anne Sylvestre, Dominique A et Gaëtan Roussel, trois grands interprètes de la chanson française, les ont chantées. Vous pouvez les retrouver dans notre centre de ressources, mais pourquoi ne pas aller plus loin et emmener vos élèves visiter un parc éolien ou un autre site de production d’énergie renouvelable ?

3. Produire ensemble notre propre énergie, et pourquoi pas ?

Préfacée par Philippe Bertrand (Carnets de Campagne sur France Inter), cette bande dessinée éditée par Energie Partagée retrace l’histoire de l’énergie sur le ton humoristique (depuis la préhistoire, en passant par le crack pétrolier ou la centralisation énergétique française) et souligne les étapes clés qui constituent cette culture que nous partageons autour de l’énergie. Elle met également en relief les initiatives collectives d’énergies citoyennes qui ont émergé dans les années 2000 et se développent aujourd’hui dans tous les territoires.

4. Se saisir des enjeux au niveau d’un territoire : un film-expérience

Le film Douce France réalisé par Geoffrey Couanon raconte l’histoire de trois lycéens de banlieue  parisienne qui s’interrogent sur le projet Europacity, l’aménagement du  territoire et leur avenir. A l’âge pivot de 17 ans où ils doivent choisir l’orientation de leurs  futures études, Amina, Sami, Jennyfer et leur classe posent des  questions universelles : Que fabrique-t-on dans nos métiers et dans nos  vies ? Quelles activités choisit-on pour nos territoires et quel impact  sur nos vies ? Un film de cinéma pour sensibiliser aux enjeux sociaux, citoyens, économiques et agro-écologiques de nos territoires (transition et consom’action citoyenne, préservation des biens communs et des écosystèmes…).

5. Expérimenter une pratique poétique sobre : le haïku

« Le haïku est un moyen sobre, efficace et inépuisable pour porter des messages » ainsi que l’affirme Paul Neau,  membre du jury du concours « Un haïku pour le climat ». Depuis 2015, le concours « Un haïku pour le climat » est organisé par le CLER – Réseau pour la transition énergétique en partenariat avec Les Grands-parents pour le climat, l’association francophone de haïku (AFH), l’association négaWatt et les éditions L’Iroli.

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